Giuseppe Verdi fut témoin et défenseur de l'art italien de la deuxième moitié du XIXe siècle, "spontané, naturel sensible et éblouissant de lumière", comme il l'écrivait lui-même ; un art du sud, tel que le qualifiait Nietzsche, que l'on était en train malheureusement de "germaniser". Nombreux sont les points de contact entre cet esprit et l'invitation nietzschéenne à méditerraniser la musique ; nous chercherons à mettre en perspective les éléments les plus vitaux du rythme avec la mélodie verdienne.

Une conférence de : Bruno dal Bon, Jean-Yves Clément

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