Frédéric cherboeuf

Frédéric Cherboeuf suit une formation à l’Ecole du Théâtre National de Strasbourg de 1993 à 1996 sous la direction de Jean-Marc Villégier puis Jean-Louis Martinelli et au Conservatoire de Rouen avec Yves Pignot.
Au théâtre, il joue sous la direction de Guy Pierre Couleau dans Les Justes de Camus ; Guy Pierre Couleau dans Le Beau, l’Art et le Bel Art de Hegel ; Jacques Osinski dans Dom Juan de Molière et Richard ll de Shakespeare ; Adel Hakim dans Mesure pour Mesure de William Shakespeare, Les Jumeaux vénitiens de Carlo Goldoni, Les Deux Gentilshommes de Vérone de William Shakespeare, et Ce soir on improvise de Pirandello ; Catherine Delattres dans Place Royale de Corneille, Yvonne Princesse de Bourgogne de Witold Gombrowicz, Le Véritable Ami, Les Amoureux de Carlo Goldoni, et Le Cid de Corneille ; Alain Bézu dans Sous l’écran silencieux de Joseph Danan ; Dominique Saint Maxens dans Des couteaux dans les poules de David Harrower ; Daniel Mesguich dans Esther de Racine ; Elisabeth Chailloux dans L’Illusion comique de Corneille et La vie est un songe de Caldéron ; Stuart Seide dans Roméo et Juliette de William Shakespeare ; Serge Tranvouez dans Gauche Uppercut de Joël Jouanneau ; Sophie Lecarpentier dans Pour un oui ou pour un non de Nathalie Sarraute, Le Fait d’habiter Bagnolet de Vincent Delerm, présenté au Théâtre du Rond-Point en 2004 et 2005, et La Plus Haute des Solitudes de Tahar Ben Jelloun ; Olivier Werner dans Pelléas et Mélisande de Maurice Maeterlinck ; Jean-Marie Villégier dans Héraclius de Corneille, Les Innocents coupables de Brosse et La Troade de Garnier.
Il a joué aussi à la télévision et au cinéma. Sur grand écran, on le retrouve sous la direction de Benoit Jacquot dans Les Faux Monnayeurs, Gérard Pirès dans Les Chevaliers du ciel, Kaus biderman dans Un amour blessé, Denis Garnier Deferre dans Chasseur d’écume, Fabricio Cazeneuve dans Faits divers, Philippe Venault dans Le Horsain, Cedric Kahn dans Culpabilité zéro, Pascale Ferran dans L’Age des possibles. Il écrit également le texte de la pièce Too much fight, mise en scène par Sophie Lecarpentier.