5 novembre 2019 - 4 janvier 2020

Le Casino de Namur I



Salle Renaud-Barrault
les 5, 9, 13, 22, 26 et 30 novembre ; les 4, 13, 17, 21, 27 et 31 décembre ; le 4 janvier, 20h30 – le 17 novembre et le 8 décembre, 16h
Relâche : les lundis et jeudis
Durée 1H50
Adieu Ferdinand ! Suite et fin.

À VOIR AUSSI

Philippe Caubère s'installe pour deux mois avec "Adieu Ferdinand ! suite et fin.", trois spectacles en alternance, dont aussi : La Baleine et le camp naturiste et Le Casino de Namur II.

Synopsis

Tu sais, Ferdinand, la Belgique, c’est un champ de betteraves.
Ça crie et ça claque, ça fuse chez les Pétrieux. Insultes, humiliations, règlements de comptes. Isolés dans leur maison moderne plantée au milieu des champs et des années soixante-dix, ils sont cultivateurs de betteraves aux environs de Louvain. Le père et la mère de Jean-Marie reçoivent Bruno et Ferdinand, les deux copains de leur fils, qui veut devenir comédien coûte que coûte. Mais le huis clos dégénère en carnage dans une hilarante satire du choc des mondes et des cultures. Bruno, Jean-Marie et Ferdinand fuient l’enclos répressif pour se rendre au casino de Namur où ils espèrent trouver le bonheur. Maître et monstre d’une aventure théâtrale sans précédent, Caubère poursuit la nouvelle trilogie du Roman d’un acteur par une fresque familiale, enfer débordant de drôlerie et d’humanité. Pierre Notte


Distribution

Texte, mise en scène et interprétation : Philippe Caubère
Assistanat à l'écriture : Roger Goffinet
Lumière : Claire Charliot
Son : Mathieu Faedda
Chansons : André Burton
Photographies : Michèle Laurent, Sébastien Marchal
Presse : Lynda Mihoub
Administration : Guy Robert

Mentions de production

production La Comédie Nouvelle, avec le soutien du Ministère de la Culture, coréalisation Théâtre du Rond-Point
La pièce a été créée après avoir été improvisée devant la caméra de Pascal Caubère et les regards de Clémence Massart et Véronique Coquet.
Adieu Ferdinand ! Suite et fin est dédié à Louis de Montauzan.


Partenaires


presse

L'Obs (Jacques Nerson) • 28 novembre 2019

Caubère : quelle belle fin !

" Spectacle hilarant et tendre, gaillard et poétique, comme toujours avec Caubère. "

Télérama (Fabienne Pascaud)

« Qu'un acteur porte tant de mémoire, de mots, d'insolence, de rire, d'indignations et d'idéal est un prodigieux acte de foi. Dans le théâtre, dans le monde. »

Le Canard enchaîné (Jean-Luc Porquet)

« Chez lui, on baise, on pète, et le rire n'est jamais sale. Délicat, il sait aussi d'un rien tirer une petite scène délicieuse. »

L'Humanité (Charles Silvestre)

« Caubère, comme Faust, a passé un pacte avec le diable. Mais ce diable n'est pas celui auquel on vend son âme, c'est le diable du théâtre qui vous fait découvrir la vôtre, l’insoupçonnée. »

L'Express (Eric Libiot)

« Des histoires qui apparaissent banales, mais que Philippe Caubère sait rendre énooormes, pathétiques, drôles, émouvantes. »


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