les artistes

Éric Berger

Biographie

Après une formation au Cours Florent, puis au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique de Paris, Éric Berger fait ses débuts à la fois au théâtre, au cinéma et à la télévision au début des années 1990.


Au théâtre, il joue sous la direction de Denis Podalydès (Le Mental de l‘équipe d’Emmanuel Bourdieu et Frédéric Bélier Garcia, présenté au Théâtre du Rond-Point en 2007), d’Isabelle Nanty (La Ronde d’Arthur Schnitzler, Ne réveillez pas Cécile de Gérard Lauzier), sous la direction de Bruno Bayen (Qu’une tranche de pain de Rainer Werner Fassbinder ;  À trois mains, Nicodème, Plaidoyer en faveur des larmes d’Héraclite de Bruno Bayen), sous la direction de Philippe Berling (Peer Gynt de Henrik Ibsen), sous la direction de Charles Tordjman (Le Misanthrope de Molière), sous la direction de Julie Brochen (Penthésilée de Heinrich von Kleist), de Jean Boilot (Le Décameron de Boccace), de Didier Bezace (Narcisse de Jean-Jacques Rousseau), de Daniel Martin et Charles Tordjamn (Bastringue à la Gaité Théâtre de Karl Valentin), de Jean-Marie Patte (Mes Fils), de Frédéric Bélier-Garcia (Et la nuit chante de Jon Fosse, La Ronde d’Arthur Schnitzler), de Georges Lavaudant (La Cerisaie d’Anton Tchekhov), d’Alain Françon (Platonov d’Anton Tchekhov, L’Hôtel du Libre-Échange de Georges Feydeau).


Au cinéma, il joue dans La Sainte Victoire de François Fairat, Le Petit Nicolas de Laurent Tirar, Erreur de la banque en votre faveur de Michel Munz,  Mon père ce héros de Gérard Lauzier, Tom est tout seul de Fabien Onteniente, Montparnasse – Pontichéry d’Yves Robert, Nitrate d’argent de Marco Ferreri, Quatre Garçons pleins d’avenir de Jean-Paul Lilienfield, Tanguy d’Etienne Chatiliez, Mensonges et trahisons et plus si affinités…de Laurent Tirard, La Confiance règne d’Etienne Chatiliez, Cavalcade de Steve Suissa, Toi et moi de Julie Lopes-Curval, Molière de Laurent Tirard, Tu peux garder un secret ? d’Alexandre Arcady.


A la télévision, il joue dans Boubouroche (série de contes et nouvelles du XIX ème siècle) réalisé par Laurent Heynemann.
En 2002, il est nommé pour le César du Meilleur espoir masculin pour Tanguy. 

Sur les scènes du Rond-point