attention : deux spectacles en alternance composent
L’Epilogue, La Ficelle et
La mort d’Avignon (>
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[prolongations jusqu'au 2 novembre]
Il y avait une ficelle dans un coin. À partir delà, j'ai tenté de raconter le monde.C'est comme s'il tirait un fil - un fil d'Ariane ! Et presque par magie voilà que cela se met à défiler devant ses yeux et les nôtres, toute une foule. Philippe Caubère, athlète du théâtre, est un magicien, un chaman. Cette fois, il boucle la boucle en terminant par le début, la saga de L'Homme qui danse avec le fameux Épilogue. Ce nouveau spectacle, qu'il aura longtemps différé, est construit à partir des toutes premières improvisations qu'il fit devant Clémence Massart. Cette fois, le plateau de théâtre est vide. Ferdinand est seul face à lui-même, il n'a plus la possibilité de se mettre dans la peau d'un autre. Du coup, il panique un peu. C'est une descente aux enfers. Il est au fond du trou. Au chômage, découragé, il n'arrive plus à interpréter des personnages écrits.Il sait en même temps qu'il ne peut pas changer de métier. Alors,que faire? Il se cherche en improvisant. Ramasse une ficelle qui traîne là. Ça lui évoque d'abord l'amour, puis le suicide. Enfin, il se ravise: au lieu d'aller se pendre, il va se peindre. Raconter son histoire en la fabulant et en la tirant vers le burlesque.
La Ficelle Un monologue où Ferdinand, tout seul sur le plateau et devenu incapable de jouer les autres, ne trouve plus d’autre recours que de s’adresser à cette ficelle qui traînait dans le fond de la scène depuis le premier des six spectacles de L’Homme qui danse.
La mort d’Avignon Ils sont tous revenus une dernière fois, sous la grande ombre, le mystère, le fantôme qui la nuit hante le Palais des Papes, assister à la débâcle de Lorenzaccio 78.
Chaque spectacle dure environ 2 heures sans entracte et peut être vu indépendamment de l'autre.